Ce qui me gène quand on parle d'une affaire et cela se vérifie encore pour celle là, c'est qu'on stigmatise sur la personne les chocs, les indignations, pour / contre, on provoque l'hystérie, on déchaîne les passions et tout ça participe au cirque médiatique qui s'en délecte et annihile toute réflexion sur le fond.
Je m'interroge sur ce que tout ça nous dit de nous même.
L'enfant est par nature provocateur, séducteur et dans bien des domaines de la vie y compris sa jeune sexualité mais est ce parce qu'il incite au rapport consommé ou est ce parce qu'il teste, qu'il cherche à comprendre son propre fonctionnement ou celui des autres (y compris de ses propres parents peut être) et ensemble.
C'est à l'adulte (définition pas générale ne vous faîte pas ce plaisir facile...l'acquisition du statut d'adulte) de mettre des barrières, aux parents d'éduquer (est ce parce que des parents inconséquents cèdent parce que c'est la mode à l'achat de strings à leur fillette, qu'elle est de faite "une chaudasse prête à se faire sauter") à nous de pauser les limites et surtout de ne pas les franchir. "A 13 ans, il n'y a pas de consentement", c'est la loi, c'est les limites.
C'est peut être difficile, on peut peut être succomber selon l'époque, suivant les mœurs... mais quelle société civilisée peut le défendre, le minimiser et finalement l'accepter.
Les droits de protection des enfants n'ont pas été institués par hasard ou pour faire plaisir à quelques extrémistes moralisateurs ou bien pensants mais bien parce que les enfants peuvent être nos premières victimes, de la violence, de nos erreurs, de nos petits arrangements avec la morale (conception has been car trop dévoyée).
Où mettons nos propres limites ?
Est ce aux enfants d'être plus raisonnable que nous ?
C'est le monde à l'envers !
Nous reportons nos propres irresponsabilités sur la tête des enfants : il a crié trop fort, trop longtemps c'est pour ça que je l'ai frappé et non parce que je n'ai pas su me contrôler, me remettre en cause pour lui apprendre à réagir différemment, que par les cris et les pleurs qui m'exaspèrent. Je donne volontairement un autre exemple, je ne juge pas, j'essaie de comprendre la façon de penser et les excuses qu'on se cherche, qu'on se trouve pour ne pas regarder la réalité en face, l'enfance dure de la naissance jusqu'à l'âge adulte avec toutes ses facettes, ses ambiguïtés, à nous justement de ne jamais être ambiguë ou lâche vis à vis de nous même.
Être en face d'un enfant, le notre ou celui des autres est dur, complexe, changeant mais l'adulte qu'on est face à lui est aussi un peu l'enfant qu'on a été et l'adulte qu'il sera. C'est une responsabilité, à nous d'y prendre garde !
Reconnaître ses erreurs c'est déjà commencer à les réparer et à changer les comportements...
Je m'interroge sur ce que tout ça nous dit de nous même.
L'enfant est par nature provocateur, séducteur et dans bien des domaines de la vie y compris sa jeune sexualité mais est ce parce qu'il incite au rapport consommé ou est ce parce qu'il teste, qu'il cherche à comprendre son propre fonctionnement ou celui des autres (y compris de ses propres parents peut être) et ensemble.
C'est à l'adulte (définition pas générale ne vous faîte pas ce plaisir facile...l'acquisition du statut d'adulte) de mettre des barrières, aux parents d'éduquer (est ce parce que des parents inconséquents cèdent parce que c'est la mode à l'achat de strings à leur fillette, qu'elle est de faite "une chaudasse prête à se faire sauter") à nous de pauser les limites et surtout de ne pas les franchir. "A 13 ans, il n'y a pas de consentement", c'est la loi, c'est les limites.
C'est peut être difficile, on peut peut être succomber selon l'époque, suivant les mœurs... mais quelle société civilisée peut le défendre, le minimiser et finalement l'accepter.
Les droits de protection des enfants n'ont pas été institués par hasard ou pour faire plaisir à quelques extrémistes moralisateurs ou bien pensants mais bien parce que les enfants peuvent être nos premières victimes, de la violence, de nos erreurs, de nos petits arrangements avec la morale (conception has been car trop dévoyée).
Où mettons nos propres limites ?
Est ce aux enfants d'être plus raisonnable que nous ?
C'est le monde à l'envers !
Nous reportons nos propres irresponsabilités sur la tête des enfants : il a crié trop fort, trop longtemps c'est pour ça que je l'ai frappé et non parce que je n'ai pas su me contrôler, me remettre en cause pour lui apprendre à réagir différemment, que par les cris et les pleurs qui m'exaspèrent. Je donne volontairement un autre exemple, je ne juge pas, j'essaie de comprendre la façon de penser et les excuses qu'on se cherche, qu'on se trouve pour ne pas regarder la réalité en face, l'enfance dure de la naissance jusqu'à l'âge adulte avec toutes ses facettes, ses ambiguïtés, à nous justement de ne jamais être ambiguë ou lâche vis à vis de nous même.
Être en face d'un enfant, le notre ou celui des autres est dur, complexe, changeant mais l'adulte qu'on est face à lui est aussi un peu l'enfant qu'on a été et l'adulte qu'il sera. C'est une responsabilité, à nous d'y prendre garde !
Reconnaître ses erreurs c'est déjà commencer à les réparer et à changer les comportements...
l'adulte qu'on est face à lui est aussi un peu l'enfant qu'on a été et l'adulte qu'il sera.
RépondreSupprimerOui c'est vrai, mais la part de l'inné dans ce qui fait qu'un enfant devient un adulte, peut aussi prendre le pas sur les acquis, tu sais cet éternel débat chez les instits... Un enfant ayant des parents complètement branque, peut-il y arriver autant que les autres. Perso je pense que oui.
"C'est à l'adulte (définition pas générale ne vous faîte pas ce plaisir facile...l'acquisition du statut d'adulte) de mettre des barrières, aux parents d'éduquer (est ce parce que des parents inconséquents cèdent parce que c'est la mode à l'achat de strings à leur fillette, qu'elle est de faite "une chaudasse prête à se faire sauter") à nous de pauser les limites et surtout de ne pas les franchir. "A 13 ans, il n'y a pas de consentement", c'est la loi, c'est les limites.
RépondreSupprimerC'est peut être difficile, on peut peut être succomber selon l'époque, suivant les mœurs... mais quelle société civilisée peut le défendre, le minimiser et finalement l'accepter."
Rien à ajouter, très bien dit.
Poison merci de ta visite, tu es le bienvenu. Ta colère je la comprends et je ne me fais pas d'illusion, j'explose mon compteur de commentaires avec un texte court sur l'affaire dont tout le monde parle mais sur les autres...
RépondreSupprimerMerci Stéph de prendre toujours le temps de me lire et de donner ton avis