J'étais là a me vautrer avec complaisance dans ma déprime saisonnière, justifiée en partie par une rentrée personnelle chargée et je n'ai pas donné assez d'intérêt au billet bouleversant du coucou et je sent un peu de honte me monter aux joues, histoire de misère et d'isolement, histoire de la déliquescence d'une société qui se dit évoluée et moderne. Rimbus à son tour, nous offre un texte intitulé "Appauvrissement" je vous invite à le lire.
Garder l'indignation chevillée au corps comme la seule alternative morale pour ne pas sombrer dans la complaisance vis à vis de soi même. Mais ce gouvernement, cette société qui se dessine depuis quelques dizaines d'années et contre laquelle nous voulons résister, certains se blindent, d'autres s'en font une mission, moi j'avoue que parfois j'ai du mal à faire la part des choses entre le monde tel que je le rêverai et celui que je vois devant moi pleins de cynisme et d'inhumanité.
Je pense au fiston, ai-je eu raison ? Je reprends alors le combat pour lui... aussi.
Garder l'indignation chevillée au corps comme la seule alternative morale pour ne pas sombrer dans la complaisance vis à vis de soi même. Mais ce gouvernement, cette société qui se dessine depuis quelques dizaines d'années et contre laquelle nous voulons résister, certains se blindent, d'autres s'en font une mission, moi j'avoue que parfois j'ai du mal à faire la part des choses entre le monde tel que je le rêverai et celui que je vois devant moi pleins de cynisme et d'inhumanité.
Je pense au fiston, ai-je eu raison ? Je reprends alors le combat pour lui... aussi.
Allez, on ne lache rien
RépondreSupprimerMerci pour cette aimable citation ;-)
RépondreSupprimerGarder l'indignation chevillé au corps, Oui !
RépondreSupprimerParce que l'on accepte trop de recul et que la résignation nous gagne... Alors oui, il faut s'indigner au moins pour garantir l'avenir de nos enfants, tu as raison de le rappeler.